You want I say I love you too but it would be a lie.
Les chroniques de Mademoiselle Chloé ♥
#03 - Quand je t'ai vu, j'ai cru voir passer un ange, ce n'est que l'enfer qui me tente.
Lundi 17 novembre 2008 à 21:03
You want I say I love you too but it would be a lie.
#13 - Puisque j’en ai les larmes aux yeux et que nos mains ne tiennent plus ensembles.
Samedi 13 décembre 2008 à 0:12
#14 - On redoute tous le moment fatal où le mot dépendance vient s'imposer à nous.
Vendredi 19 décembre 2008 à 16:38
J'avais arrêté toutes les drogues dures.
Je ne vois pas pourquoi l'amour aurait bénéficié d'une exception.
#21 - Je n'aime pas faire pleurer les garçons.
Jeudi 25 décembre 2008 à 23:42
Assise dans le noir, la fumée de mes cigarettes me pique les yeux, et ces larmes débordent inlassablement. Trois mots sont sortis de ma bouche. Ce n’était pas un Je t’aime. Non. Le contraire. C’est fini. J’en ai le vertige. Dis-toi que ce n’est pas là mon point de départ, seulement celui de notre non-retour. C’est mieux comme sa. Regarde comme mes mots étaient si durs, à tel point que tu ne pouvais plus les encaisser, comme mes silences étaient si lourds, à tel point que je ne pouvais plus les excuser. Tes pleurs résonnent à des kilomètres. J’ai envie de vomir car je sais qu’au fond j'ai tous les tords. J’espère seulement que tu arriveras à me pardonner. Pour ma part, je me dis qu’un jour j’arriverais peut être à guérir. Et à bien y réfléchir, ce n’est pas toi qui as perdu cette fois, c’est moi.
#24 - Je joue un jeu dangereux.
Mercredi 31 décembre 2008 à 1:46
Un pas en avant. Deux en arrière. Mes lèvres effleurent les tiennes. Tes yeux qui me dévorent et les miens qui semblent dire non pas encore.Du bout des hanches et d'un regard de velours. Je n'ai aucun mal pour t'attirer dans mes filets. Et puis sans raisons, te repousser violemment. On dit toujours que les filles n'ont jamais le choix. Ce n'est pas mon cas. Ce soir je décide que je ne veux plus de toi. Mais demain qui sait si je ne vais pas me mettre à te désirer tout entier. Je n'ai jamais su ce que je voulais. Qu'est ce que tu croyais ? Que c'est en te connaissant que j'allais changer ? T'as pris tes rêves pour des réalités. T'as cru aussi que je t'appartenais mais tu t'es piètrement trompé. Je suis aussi libre que l'air, aussi frivole que les salauds qui brisent le coeur des filles. Il faudra t'y faire chéri. Sinon on voguera chacun de son côté, et si cela m'ira très bien, au contraire, toi tu risques de le regretter.